Plus fréquent chez le jeune adulte (entre 15 et 30 ans) et plus souvent chez la femme, l’instabilité rotulienne peut être objective (la rotule se luxe) ou subjective (sensation d’instabilité de la rotule, appréhension).
Le diagnostic se fait sur l’interrogatoire (nombre de luxations, fréquence des instabilités) et sur l’examen clinique (signe de Smillie positif, baïonnette de haut grade).
L’indication chirurgicale dépend de l’analyse radiographique (dysplasie trochléenne selon la classification de Dejour) voire parfois sur l’arthroscanner du genou (étude de la morphologie, bilan des lésions du cartilage de mauvais pronostic)
En fonction de l’importance de la gêne et après l’étude morphologique de la ou des anomalies, plusieurs types d’interventions peuvent être proposées…
OUI si instabilité importante, gêne quotidienne
NON si arthrose du genou, si raideur du genou, si douleurs sans instabilité..
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